Il n'y a pas de visage dans le vertige du désir. Tout est blanc, trop proche de la brûlure. Fondu dans ce qui suit l'aveuglement des sensations, l'éblouissement du corps.
Il n'y a pas de visage dans les livres. Ils se sont effacés devant l'éclat du plomb et le poids des pollens.
Il n'y a pas de visage dans la contemplation des souvenirs. Et il est impossible d'aggraver ce mal.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire